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Notre histoire

Un savoir garant d'avenir.
Depuis 1972.

L’IRPP, d’hier à aujourd’hui

L’Institut de recherche en politiques publiques (IRPP) compte parmi les groupes de réflexion les plus réputés et influents du Canada. Reconnu pour la qualité de ses programmes de recherche, il publie aussi le magazine en ligne Options politiques et abrite le Centre d’excellence sur la fédération canadienne.

Depuis son siège social de Montréal, l’IRPP est l’un des seuls organismes du genre qui exerce ses activités dans les deux langues officielles du pays.

Rapports de recherche approfondis, études rigoureuses, articles percutants, événements publics et exposés individuels : nos travaux visent à transmettre aux décideurs les éléments nécessaires à une prise de décision éclairée tout en faisant valoir les analyses d’une diversité de spécialistes et chercheurs.

Nous avons pour mission d’« améliorer les politiques publiques en produisant des recherches, en proposant de nouvelles idées et en éclairant les débats sur les grands enjeux auxquels font face les Canadiens et leurs gouvernements », et pour objectif de « rapprocher les milieux de la recherche et des politiques publiques au profit de tous les citoyens ».

Nous célébrons...

50 années de recherche de pointe sur les plus grands défis du Canada

Le 11 avril 2022, l’un des think tanks les plus anciens et les plus réputés du Canada fête ses 50 ans d’existence. L’Institut de recherche en politiques publiques (IRPP) compte parmi le cercle restreint mais influent des organismes indépendants qui préconisent l’élaboration de politiques fondées sur des données probantes et un dialogue inclusif, en cette ère de polarisation sociale où la réalité des faits est de plus en plus contestée.

« Le Canada est aujourd’hui confronté à des enjeux sociaux, économiques, technologiques et environnementaux qui se recoupent, évoluent et se complexifient plus rapidement que quiconque n’aurait pu l’imaginer en 1972, année de notre fondation », observe Jennifer Ditchburn, présidente et chef de la direction de l’IRPP.

« Et c’est précisément cette complexité, jumelée au rythme effréné des changements en cours, qui confirme la nécessité d’institutions comme la nôtre, poursuit-elle. Notre travail consiste à détecter les perturbations qui réclament une action politique et à analyser minutieusement les faits, sans égard à la rumeur médiatique, en vue de favoriser la prise de décisions judicieuses. »

Pour souligner son 50e anniversaire, l’IRPP tiendra partout au pays une série de tables rondes en collaboration avec neuf écoles d’administration et de politiques publiques. Il organisera aussi une soirée de gala le 23 novembre prochain, qui réunira à Ottawa bon nombre des amis et partenaires qu’il compte parmi les décideurs, les parlementaires, les chercheurs, le secteur privé et les organismes sans but lucratif.

L’IRPP voit officiellement le jour en avril 1972, à la suite d’un discours du Trône dans lequel le gouvernement fédéral propose de créer « un institut qui pourrait s’appliquer à des recherches et à des considérations à long terme sur les multiples questions intéressant les gouvernements ». Depuis, l’IRPP a toujours été à l’avant-plan des grands débats nationaux – du réchauffement climatique à la réforme constitutionnelle en passant par l’immigration et la diversité, la croissance économique et l’inégalité de revenu – à la fois comme rassembleur et instigateur de recherches approfondies.

À ce volet de recherche s’ajoutent Options politiques, son magazine en ligne maintes fois primé, et son Centre d’excellence sur la fédération canadienne. Ses travaux actuels portent sur le filet social, les compétences d’avenir et l’apprentissage des adultes, et le vieillissement de la population.

« C’est l’indépendance de l’IRPP et l’indéniable qualité de ses travaux qui expliquent son influence et son rayonnement. Les décideurs qui lisent ses études et articles ou utilisent ses données sur les mesures provinciales de lutte contre la pandémie sont assurés qu’ils reposent tous sur une recherche rigoureuse et des faits probants. » – Anne McLellan, présidente du conseil d’administration de l’IRPP.

Les temps forts de notre histoire

À l’occasion du discours du Trône de 1968, Pierre Elliott Trudeau déclarait qu’« il serait utile de mettre à la disposition de tous les gouvernements un institut qui pourrait s’appliquer à des recherches et à des considérations à long terme sur les multiples questions intéressant les gouvernements », compte tenu des « difficiles et urgents problèmes concernant la jeunesse, la pauvreté, les disparités régionales, l’expansion urbaine, le bien-être des particuliers, l’application et l’encouragement de la technologie scientifique ».
L’économiste et homme d’affaires canadien Ronald Ritchie est bientôt chargé d’en étudier l’idée. Il produit en 1969 un rapport fixant les paramètres d’un groupe de réflexion indépendant du gouvernement, précisant ce qui suit : « Nos institutions publiques ont été créées dans une période et une société qui pouvaient se permettre un processus décisionnel plus serein. Cette époque est révolue. »

L’Institut de recherche en politiques publiques voit officiellement le jour en 1972 grâce à un fonds de dotation du gouvernement fédéral et aux dons de quelques provinces et du secteur privé. À son premier conseil d’administration siègent l’ancienne journaliste Jeanne Sauvé (et future gouverneure générale) et l’ancien premier ministre de l’Ontario John Robarts.

En 1983, le Conseil est présidé par Robert Stanfield, ancien premier ministre de la Nouvelle-Écosse et chef du Parti progressiste-conservateur, qui évoque ainsi notre mission : « Personne ne conteste que ces temps difficiles exigent de nos dirigeants une sagesse exceptionnelle. Ils affrontent des problèmes d’une ampleur et d’une complexité inédites. Mais il existe des solutions. (…) Pour aider les décideurs en quête de réponses, il faut une information adéquate, produite en temps voulu et transmise aux responsables clés. »

L’IRPP a toujours été à l’avant-plan des grands débats nationaux. Nous avons tenu des conférences de haut niveau sur l’environnement bien avant le premier Sommet de la Terre des Nations unies. Nos chercheurs ont scruté les effets des technologies sur la société et le monde du travail dès l’arrivée des ordinateurs personnels. Nous étudions l’incidence politique de la diversité ethnique et culturelle depuis les années 1970. Et notre examen des rouages de la fédération, amorcé dès nos débuts, a fait de l’IRPP le lieu privilégié d’un débat constructif sur la question, notamment lors des crises d’unité nationale qui ont ponctué les années 1980 et 1990.

C’est en 1980 que l’IRPP lance sa revue bilingue, Options politiques, dont le Conseil veut faire son « principal moyen de stimuler le débat public ». Son rédacteur-fondateur, l’éminent journaliste et politologue Tom Kent, souligne dans son premier éditorial qu’elle vient combler « le besoin non satisfait de nombreux Canadiens pour une publication nationale traitant du vaste ensemble des enjeux politiques actuels », ajoutant qu’elle devra « proposer de nouvelles orientations et déterminer les questions d’importance à long terme ». Aujourd’hui, Options politiques totalise annuellement plus de deux millions de pages vues et publie presque chaque jour de nouveaux articles.

Enfin, notre expertise des affaires intergouvernementales a donné lieu en 2020 à la création du Centre d’excellence sur la fédération canadienne, rendue possible grâce à une subvention fédérale de 10 millions de dollars.

UN APERÇU DE NOTRE HISTOIRE

Voici quelques autres réalisations et faits saillants de l’histoire de l’IRPP :

1968

Septembre

Dans le discours du Trône ouvrant la 28e législature du Parlement, le gouverneur général Roland Michener déclare au nom du gouvernement qu’« il serait utile de mettre à la disposition de tous les gouvernements un institut qui pourrait s’appliquer à des recherches et à des considérations à long terme sur les multiples questions intéressant les gouvernements ». Une déclaration qui mènera à la création de l’Institut de recherche en politiques publiques, premier groupe de réflexion du genre au Canada.

1968

Novembre

À la demande du gouvernement fédéral, l’économiste et cadre dirigeant de la Imperial Oil Ronald Ritchie amorce la rédaction d’un rapport sur l’éventuelle création d’un « institut de recherche en politiques publiques » : ce sera le titre de son rapport, déposé en 1971, puis le nom de l’institut dont il recommande la mise sur pied.

1972

Avril

L’Institut de recherche en politiques publiques est officiellement constitué en société.

1973

L’IRPP poursuit son essor. Son personnel regroupe plus de 20 personnes à son siège social de Montréal, dont le centre de documentation déjà considérable est alimenté par plusieurs établissements universitaires.

1974

Juin

Alfred William Rooke (« Fred ») Carrothers est nommé président-fondateur de l’IRPP, après avoir été président de l’Université de Calgary et doyen de la faculté de droit de l’Université Western Ontario.

1977

L’IRPP nomme son deuxième président, Michael Kirby, ancien professeur de gestion des affaires et adjoint au secrétaire principal du premier ministre Pierre Elliott Trudeau. Il lance une campagne de deux ans visant à réunir 30 millions $ destinés au fonds de dotation qui assurera l’indépendance financière de l’Institut.

1978

Les chercheurs de l’Institut mènent des travaux sur une impressionnante série d’enjeux : diversité ethnique et culturelle, réglementation et intervention gouvernementales, économie internationale, perspectives d’emploi régionales, ressources naturelles, langue de travail au Québec, questions autochtones, réglementation du transport aérien, santé et sécurité au travail, technologies de l’information, politique énergétique et politique sur les pêches.

1980

Nomination du troisième président de l’IRPP, Gordon Robertson. Fort d’une longue carrière dans la fonction publique, notamment comme conseiller des quatre premiers ministres Mackenzie King, Louis St-Laurent, Lester Pearson et Pierre Elliott Trudeau, il fut aussi sous-ministre aux Affaires du Nord et aux Ressources nationales, commissaire des Territoires du Nord-Ouest, greffier du Conseil privé et secrétaire du Cabinet.

1980

Mars

Lancement de la revue Options politiques sous la direction de son fondateur et rédacteur en chef, le journaliste, économiste et politologue Tom Kent.

1981

Juin

En vue du Sommet économique mondial, Ottawa confie à l’IRPP l’organisation d’une conférence pré-sommet réunissant les ministres des Finances et de l’Économie des sept pays participants. La rencontre aura lieu au Château Montebello, au Québec, où l’IRPP tiendra par la suite de nombreux événements et débats.

1982

À l’approche du rapatriement de la Constitution, l’IRPP retrace les étapes clés des négociations tout en produisant une analyse objective de la portée juridique et des conséquences de chaque modification.

1984

Nomination du quatrième président de l’IRPP, A. Rodney Dobell, ancien professeur d’économie politique à l’Université de Toronto. Il avait aussi été conseiller spécial en planification économique du sous-ministre des Finances, sous-secrétaire au Conseil du Trésor, directeur  de la Branche des questions économiques générales de l’OCDE et directeur de la recherche de deux groupes de travail parlementaires.

1986

L’Institut regroupe ses activités de recherche sous trois grands thèmes : questions internationales, gouvernance et politiques sociales. Le directeur de recherche David Rumnalls crée en outre le programme Environnement et développement durable, qui se penchera pour la première fois sur les politiques environnementales.

1987

L’IRPP fête ses 15 ans et reçoit pour l’occasion la visite de la gouverneure générale du Canada Jeanne Sauvé.

1988

Janvier

Le premier ministre Brian Mulroney signe l’Accord de libre-échange nord-américain, qui sera longtemps l’objet d’importantes recherches dans le cadre du programme Économie internationale de l’IRPP.

1988

Juin

L’IRPP tient à Toronto une conférence sur l’atmosphère terrestre qui attire l’attention internationale sur les enjeux environnementaux. Assistent à ce grand événement rassembleur le premier ministre et le ministre de l’Environnement du Canada, de même que Gro Brundtland, premier ministre de la Norvège. Le président de l’IRPP Rod Dobell jouera par la suite un rôle important dans la formulation d’une proposition qui suscitera la création du Fonds mondial pour l’environnement.

1988

Automne

La Commission royale d’enquête sur l’union économique et les perspectives de développement du Canada confie à l’IRPP l’organisation d’une série de séminaires sur les thèmes examinés par la Commission MacDonald.

1989

Poursuivant ses travaux sur l’environnement, l’IRPP entreprend une vaste étude sur les Grands Lacs en collaboration avec la Conservation Foundation de Washington.

1990

Septembre

L’IRPP tient une conférence sur  l’autonomie gouvernementale autochtone, dont les recettes serviront l’année suivante à la publication de l’ouvrage Aboriginal Self-Determination, sous la direction de Frank Cassidy. Les travaux emblématiques de l’IRPP sur la gouvernance et les relations Couronne-Autochtones donneront lieu à plusieurs autres publications, notamment Reaching Just Settlements, The Spirit of the Alberta Indian Treaties, Aboriginal Title in BC et Indigenous Peoples, Canada and the Possibility of Reconciliation. Ce domaine de recherche figure aujourd’hui parmi les priorités du Centre d’excellence sur la fédération canadienne de l’Institut.

1991

Juin

Monique Jérôme-Forget est nommée présidente et chef de la direction de l’IRPP. Première femme et première francophone à la tête de l’Institut, elle restera en poste jusqu’à son lancement en politique (elle sera élue à l’Assemblée nationale du Québec en 1998). Avant son entrée à l’IRPP, elle avait été sous-ministre adjointe du ministère fédéral de la Santé et du Bien-être, présidente de la Commission de la santé et de la sécurité du travail du Québec, vice-rectrice Finances, Recherche institutionnelle et Ressources humaines de l’Université Concordia, de même que présidente du Comité des politiques sociales de l’OCDE.

1992

Printemps

L’équipe du programme Environnement et développement durable joue un rôle clé dans les préparatifs du Sommet de la Terre de Rio de Janeiro, qui réunira 105 chefs d’État, 8 000 journalistes et 2 000 représentants d’ONG.

1992

Automne

Au lendemain de l’échec de l’Accord du lac Meech, l’IRPP tient partout au pays une série de « conférences constitutionnelles ».

1993

Face à l’intensification du débat sur la souveraineté du Québec, l’IRPP organise des échanges publics entre souverainistes et fédéralistes. Ils se poursuivront jusqu’au référendum de 1995 et seront diffusés sur des chaînes de télévision francophones, dont RDI et la Chaîne d’affaires publiques par câble.

1994

Leslie Seidle, directeur de recherche de l’IRPP, lance une étude et une conférence nationale sur le thème « Fédération ou confédération ? En quête d’un nouveau partenariat ». Plusieurs autres projets du genre poseront graduellement les jalons du Centre d’excellence sur la fédération canadienne de l’Institut.

1996

Création du premier site Web de l’IRPP, qui marque ses débuts sur l’internet.

1998

Aout

France St-Hilaire devient vice-présidente à la recherche après avoir dirigé pendant six ans l’un de nos programmes. Elle précisera nos grandes orientations de recherche et mènera des travaux sur l’inégalité de revenu qui compteront parmi les plus consultés et référencés de l’Institut. Au départ de Monique Jérôme-Forget, elle sera présidente par intérim de novembre 1998 à mai 1999.

1999

Juin

Nomination de Hugh Segal, cinquième président de l’IRPP. Stratège politique, auteur, commentateur et universitaire, il restera en poste jusqu’à sa nomination au Sénat en 2005.

1999

Septembre

Tiré à 8 000 exemplaires – plus qu’aucun autre des précédents ouvrages de l’IRPP – As I Recall / Si je me souviens bien est distribué sans frais dans toutes les écoles secondaires du pays. Publié en français et en anglais, l’ouvrage retrace 34 épisodes marquants des relations entre francophones et anglophones, de l’arrivée des Britanniques en 1759 au référendum québécois de 1995.

2000

La nomination de Suzanne Ostiguy McIntyre au nouveau poste de vice-présidente aux opérations inaugure une nouvelle ère d’efficience organisationnelle à l’IRPP.

2000

L’IRPP entame le nouveau millénaire en préparant une conférence qui donnera lieu à la série d’ouvrages de son programme L’art de l’État.

2001

L’IRPP approuve la création du programme de recherche Sécurité nationale et interopérabilité militaire, une décision qui se révélera prophétique dans la foulée des attentats du 11 septembre. Parmi les publications du programme, citons Canadian Foreign Policy and Intervention Abroad, Will the Canadian Forces Have What they Need When They Need It? et Canada and the United States Northern Command: Implications for Canada.

2004

Mars

Une étude de Thomas Courchene, Confiscatory Equalization: The Intriguing Case of Saskatchewan’s Vanishing Energy Revenues, provoque une onde de choc qui amènera le gouvernement fédéral à verser 120 millions $ à la Saskatchewan en compensation des taux élevés de récupération applicables à la vente des concessions de la Couronne, tout en annonçant qu’il étudiera d’autres mesures correctives et réexaminera le mode de péréquation des ressources.

2005

Novembre

L’IRPP publie de nouveau une étude étrangement prémonitoire, cette fois sur le risque pandémique : Planning for the Next Pandemic Threat: Defining the Federal Role in Public Health Emergencies.

2006

Juin

Nomination du sixième président de l’IRPP, Mel Cappe, ancien Haut-Commissaire du Canada au Royaume-Uni, greffier du Conseil privé et secrétaire du Cabinet fédéral.

2007

Année de recherche intensive marquée par la  publication du Programme de priorités pour le Canada (aboutissement d’un projet de deux ans visant à lancer un vaste débat sur les priorités économiques et sociales à moyen terme) et la création du programme Les défis du vieillissement, qui reste aujourd’hui l’un des champs de recherche les plus actifs de l’Institut.

2008

Au cœur du vif débat sur la réforme du Sénat, l’IRPP publie l’étude La réforme du Sénat doit faire l’objet d’un débat public, qui s’imposera rapidement parmi ses publications les plus consultées.

2009

L’IRPP ajoute un ouvrage particulièrement novateur à sa série L’art de l’État, Northern Exposure: Peoples, Powers and Prospects in Canada’s North, qui lui inspire l’idée d’entretiens avec le premier ministre du Nunavut et des hauts fonctionnaires territoriaux. Ils auront lieu à Iqaluit, où un événement public favorisera aussi des échanges avec la communauté.

2009

Le programme de recherche Les défis du vieillissement intensifie ses activités avec la tenue de la conférence When I’m 64… Defining Caregiving Policy for an Aging Canada et la publication de plusieurs études, dont Ottawa doit jouer un rôle stratégique en matière de soins aux personnes âgées, Les aidants ont besoin du soutien de l’État et Residential Long-Term Care for Canada’s Seniors.

2011

juin

Nomination de Graham Fox, qui devient le septième président de l’IRPP après en avoir été le directeur des communications. Avant son entrée à l’Institut, il avait été conseiller en politiques stratégiques du cabinet d’avocats Fraser Milner Casgrain et directeur de cabinet de Joe Clark.

2012

avril

Pour souligner ses 40 ans, l’IRPP fait réaliser une enquête sur le meilleur premier ministre des 40 dernières années auprès d’un jury formé de 30 éminents Canadiens. L’ancien chef de l’Alberta Peter Lougheed l’emporte haut la main, figurant parmi les cinq premiers choix de tous les jurés, dont 21 sur 30 l’ont classé au premier rang.

2015

juillet

L’IRPP publie le dernier numéro papier de sa revue Options politiques, qui devient après 35 ans une plateforme entièrement numérique.

2017

fevrier

En collaboration avec le Réseau canadien de chercheurs dans le domaine du marché et des compétences, l’IRPP publie Income Inequality: The Canadian Story, cinquième ouvrage de sa série L’art de l’État et publication phare de ses travaux sur l’inégalité de revenu, dirigés par sa vice-présidente à la recherche France St-Hilaire.

2017

Juin

Fidèle à sa réputation de rassembleur, l’IRPP tient à Ottawa un événement à guichets fermés sur le thème « Understanding the Indian Act », qui suscite un débat fondamental autour de la Loi sur les Indiens.

2017

avril

L’IRPP lance le sixième ouvrage de sa série L’art de l’État,  Redesigning Canadian Trade Policies for New Global Realities. Publié sous la direction de Stephen Tapp, Ari Van Assche et Robert Wolfe, l’ouvrage se verra attribuer le Prix commémoratif Doug Purvis  2018.

2018

En vertu du budget fédéral, l’IRPP reçoit une subvention de 10 millions $ pour mettre sur pied le Centre d’excellence sur la fédération canadienne, dont le lancement officiel aura lieu en septembre 2020.

2019

Le magazine Options politiques organise une série de petits déjeuners pré-électoraux sur les enjeux clés des élections fédérales de 2019. Tenus en collaboration avec l’École Max Bell de politiques publiques de l’Université McGill, les recontres traiteront d’un éventail de sujets qui vont de l’amélioration du régime fiscal aux relations Couronne-Autochtones.

2020

Mars

La pandémie de COVID-19 gagne toute la planète. L’IRPP réoriente ses travaux en publiant dans Options politiques des textes d’opinion sur le sujet. Anticipant l’après-pandémie, il commande aussi des études sur les soins de longue durée et les licenciements provoqués par la crise sanitaire.

2021

Mai

Le conseil d’administration annonce pour le 1er juin la nomination de Jennifer Ditchburn à la tête de l’IRPP, dont elle sera la huitième présidente. Elle était jusque-là rédactrice en chef d’Options politiques, après avoir couvert pendant 20 ans l’actualité nationale et les affaires parlementaires pour La Presse canadienne et CBC Television.  

2021

Octobre

Avec l’appui du cabinet Accenture, l’IRPP accueille la toute première journaliste à temps plein d’Options politiques, Kathryn May, dont les articles porteront sur l’avenir de la fonction publique.

2022

11 avril

L’IRPP fête ses 50 ans !