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2017

2016

Jennifer Ditchburn se joint Ă  l’IRPP Ă  titre de rĂ©dactrice en chef d’Options politiques

Pour diffusion immĂ©diate – Le 4 fĂ©vrier 2016

MontrĂ©al – L’Institut de recherche en politiques publiques est heureux d’annoncer la nomination de Jennifer Ditchburn au poste de rĂ©dactrice en chef d’Options politiques.

Journaliste parlementaire maintes fois primĂ©e, Mme Ditchburn figure parmi les analystes de la vie politique les plus respectĂ©s du pays. Forte d’une riche comprĂ©hension des grands enjeux auxquels sont confrontĂ©s nos gouvernements, elle a couvert tous les dĂ©bats qui ont façonnĂ© le Canada des 20 derniĂšres annĂ©es. Une prĂ©cieuse expĂ©rience qui contribuera sans nul doute au rayonnement grandissant d’Options politiques.

« Je suis trĂšs heureux d’accueillir Jennifer Ditchburn parmi nous, » a dĂ©clarĂ© Graham Fox, prĂ©sident de l’IRPP. « Toute sa carriĂšre tĂ©moigne d’une rare capacitĂ© d’aller au fond des choses et d’un indĂ©fectible attachement Ă  un journalisme d’intĂ©rĂȘt public. Des valeurs indispensables au succĂšs d’Options politiques Ă  l’heure oĂč la revue s’impose de plus en plus comme le premier forum en ligne de dĂ©bat Ă©clairĂ© sur nos politiques publiques. »

Jennifer Ditchburn a amorcĂ© sa carriĂšre en 1995, Ă  MontrĂ©al, Ă  titre de reporter-rĂ©dactrice pour La Presse canadienne, dont elle rejoint ensuite les bureaux de Toronto et d’Edmonton, avant d’atterrir dans la Capitale nationale en 1997. Elle passe Ă  la tĂ©lĂ©vision en 2001 Ă  titre de reporter nationale pour la SRC/CBC, oĂč elle produit des rapports et participe Ă  de nombreuses Ă©missions en direct partout au pays et Ă  l’étranger, puis revient Ă  La Presse canadienne en 2006.

Triple laurĂ©ate du Concours canadien de journalisme, elle reçoit en 2015 le prestigieux Prix Charles Lynch pour sa couverture exceptionnelle des grands enjeux nationaux, et figure cette mĂȘme annĂ©e parmi les dix Hispano-Canadiens les plus influents du pays.

Souvent invitĂ©e Ă  la radio et Ă  la tĂ©lĂ©vision pour commenter les affaires publiques, elle participe notamment au panel At Issue et aux Ă©missions Power and Politics et The Current de la SRC/CBC. Elle est titulaire d’un baccalaurĂ©at Ăšs arts de l’UniversitĂ© Concordia et d’une maĂźtrise en journalisme de l’UniversitĂ© Carleton.

« Je suis ravie de me joindre Ă  la formidable Ă©quipe de l’IRPP et d’Options politiques, une revue d’une grande crĂ©ativitĂ© qui offre un espace essentiel Ă  de fructueux dĂ©bats politiques, » dĂ©clare Jennifer Ditchburn. « Je mettrai tout en Ɠuvre pour stimuler un fructueux Ă©change d’idĂ©es et accroĂźtre le rayonnement d’une publication d’ores et dĂ©jĂ  adoptĂ©e par de nombreux Canadiens passionnĂ©s de politiques publiques.  »

Sous sa direction, Options politiques poursuivra son expansion dans l’espace numĂ©rique et la diversification de ses collaborateurs, et continuera d’innover en misant sur les nouvelles technologies pour enrichir le dĂ©bat public, multiplier les points de vue et traduire par tous les moyens la diversitĂ© du pays.

Jennifer Ditchburn entrera en fonctions le 7 mars prochain.

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L’Institut de recherche en politiques publiques est un organisme sans but lucratif national, bilingue et indĂ©pendant basĂ© Ă  MontrĂ©al. Pour ĂȘtre tenu au courant de ses activitĂ©s, veuillez vous abonner Ă  son infolettre.

Renseignements :    Shirley Cardenas    tél. : 514-594-6877    scardenas@nullirpp.org

Dan Gardner, rĂ©dacteur en chef d’Options politiques, quitte ses fonctions pour se joindre au Cabinet du Premier ministre

Pour diffusion immĂ©diate – Le 3 fĂ©vrier 2016

MontrĂ©al – Au terme d’une annĂ©e exceptionnelle Ă  la barre d’Options politiques, Dan Gardner quitte son poste de rĂ©dacteur en chef pour rĂ©diger son prochain livre et exercer de nouvelles fonctions au Cabinet du Premier ministre (CPM) du Canada.
 
Sous sa direction, Options politiques a finalisĂ© sa transformation en une plateforme entiĂšrement numĂ©rique consacrĂ©e au dĂ©bat public. Il a attirĂ© Ă  la revue des collaborateurs plus nombreux et plus variĂ©s, qui ont traitĂ© d’un Ă©ventail Ă©largi de sujets et d’enjeux. Bref, Dan Gardner a fait d’Options politiques le tout premier forum numĂ©rique de dĂ©bat politique au pays.
 
Au CPM, il aura pour tĂąche de conseiller le Premier ministre et son personnel sur l’importance d’analyser des donnĂ©es complexes pour amĂ©liorer le processus dĂ©cisionnel. Autrement dit, on lui a demandĂ© de mettre en pratique la mĂ©thodologie qu’il a mise au point dans son best-seller Superforecasting: The Art and Science of Prediction (coĂ©crit avec Philip Tetlock).
 
« Il est trĂšs agrĂ©able de travailler avec Dan Gardner, confie Graham Fox, prĂ©sident de l’IRRP, et nous regrettons tous son dĂ©part. Mais Ă©videmment, je comprends qu’il ait acceptĂ© cette proposition de servir son pays. Je le remercie de son leadership et de sa contribution Ă  l’essor d’Options politiques, et je lui souhaite la meilleure des chances dans ses nouvelles fonctions. De concert avec la talentueuse Ă©quipe de la revue, il a crĂ©Ă© une plateforme multimĂ©dia qui totalise aujourd’hui plus de 50 000 vues de page mensuelles, qui a rĂ©inventĂ© la publication de l’IRPP et l’a mise Ă  l’heure du numĂ©rique, ce qui lui assurera de raffermir son engagement en faveur d’un dĂ©bat aussi Ă©clairĂ© que vigoureux. »
 
« Ce fut un honneur de diriger une publication aussi prestigieuse qu’Options politiques,» a pour sa part dĂ©clarĂ© Dan Gardner, « et un immense plaisir de la recrĂ©er de fond en comble pour l’adapter Ă  l’ùre numĂ©rique. Tous mes remerciements vont Ă  Graham Fox et au formidable personnel de l’IRPP. Je me rĂ©jouis dĂ©jĂ  de voir comment la revue poursuivra son ascension. »
 
Le nom du nouveau rĂ©dacteur en chef d’Options politiques sera annoncĂ© demain.

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L’Institut de recherche en politiques publiques est un organisme canadien indĂ©pendant, bilingue et sans but lucratif, basĂ© Ă  MontrĂ©al. Pour ĂȘtre tenu au courant de ses activitĂ©s, veuillez vous abonner Ă  son infolettre.

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Les Canadiens ont une vision optimiste de leur gouvernement et de la situation du pays, révÚle un sondage

Pour diffusion immĂ©diate – Le 6 janvier 2016

MontrĂ©al – L’économie est fragile, le prix du pĂ©trole s’est effondrĂ© et le huard est en chute libre. Pourtant, les Canadiens sont Ă©tonnamment satisfaits de la performance du gouvernement fĂ©dĂ©ral et de la situation d’ensemble du pays, selon un sondage rĂ©alisĂ© par Nanos Research pour la revue Options politiques.

Une solide majoritĂ© (60 p. 100) juge ainsi « bonne ou trĂšs bonne » la performance du nouveau gouvernement libĂ©ral. En neuf ans de sondages sur l’humeur du pays, ce taux de satisfaction brise largement le record enregistrĂ© en 2011 au lendemain de l’élection d’un gouvernement conservateur majoritaire, qui s’établissait Ă  40 p. 100 d’opinions favorables.

Plus Ă©tonnant compte tenu de l’incertitude Ă©conomique actuelle, les Canadiens sont tout aussi optimistes quant Ă  l’orientation du pays : 63 p. 100 le jugent « engagĂ© dans la bonne direction », soit presque autant que les 66 p. 100 de 2007, pĂ©riode oĂč l’économie Ă©tait en plein essor.

Le changement le plus marquant concerne les relations fĂ©dĂ©rales-provinciales. Un peu plus de la moitiĂ© des Canadiens estiment en effet qu’elles se sont amĂ©liorĂ©es, ce taux favorable Ă©tant plus de deux fois supĂ©rieur au meilleur pourcentage jamais enregistrĂ©.

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Principale revue canadienne spĂ©cialisĂ©e en politiques publiques, Options politiques est publiĂ© par l’Institut de recherche en politiques publiques (IRPP), organisme sans but lucratif national, bilingue et indĂ©pendant basĂ© Ă  MontrĂ©al.

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Renseignements :  Shirley Cardenas    Tél. : 514-594-6877    scardenas@nullirpp.org

2015

Un expert en commerce international examine les rĂ©percussions d’une production mondialisĂ©e pour les politiques canadiennes

MontrĂ©al – Les entreprises au Canada comme Ă  l’Ă©tranger restructurent de plus en plus leurs processus de production Ă  l’Ă©chelle internationale en recourant Ă  l’externalisation et Ă  la dĂ©localisation. L’intĂ©gration accrue aux chaĂźnes de valeur mondiale gĂ©nĂšre-t-elle des avantages Ă©conomiques pour le Canada ? Dans cette publication anticipĂ©e d’un chapitre de livre, Redesigning Canadian Trade Policies for New Global Realities, Ari Van Assche, chercheur associĂ© Ă  l’IRPP et expert en commerce international, examine les changements des pratiques commerciales des entreprises et leurs rĂ©percussions pour les politiques canadiennes.

Ce chapitre sera mis en ligne sur le site Web de l’IRPP (irpp.org/fr) le mardi, 28 avril, Ă  00 h 01.

Redesigning Canadian Trade Policies for New Global Realities, sous la direction de Stephen Tapp, Ari Van Assche et Robert Wolfe, sera le sixiĂšme volume de la collection L’art de l’État de l’IRPP. Trente chercheurs universitaires, experts gouvernementaux, intervenants et parties intĂ©ressĂ©es, du Canada et de l’Ă©tranger, y analyseront l’incidence des changements dans le commerce mondial, les technologies et les forces Ă©conomiques et gĂ©opolitiques sur le Canada et ses politiques commerciales.

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 L’Institut de recherche en politiques publiques est un organisme canadien indĂ©pendant, bilingue et sans but lucratif, situĂ© Ă  MontrĂ©al. Pour ĂȘtre tenu au courant des activitĂ©s de l’IRPP, veuillez vous abonner Ă  sa liste d’envoi.

Personne-ressource :    Shirley Cardenas   tel. 514 594-6877   scardenas@nullirpp.org

IRPP expert available to comment on Modi’s historic visit

Montreal – The first Indian prime minister to visit Canada in over 40 years arrives tomorrow. Narendra Modi’s three-day trip is being hailed by leaders of both countries as an opportunity to broaden the Canada-India economic relationship.

Someshwar Rao, IRPP Research Fellow and author of the forthcoming study The Potential to Grow Canada-India Economic Linkages: Over-Sold or Overlooked?, is available for media comment.

For more details or to schedule an interview, please contact the IRPP.

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The Institute for Research on Public Policy is an independent, national, bilingual, not-for-profit organization based in Montreal. To receive updates from the IRPP, please subscribe to our e-mail list.

Media Contact:    Shirley Cardenas    tel. 514-594-6877    scardenas@nullirpp.org

Four things needed to make pharmacare work for Canadians

A growing number of health professionals, patients, community groups and even politicians are calling for national pharmacare. But many Canadians likely wonder what pharmacare is and whether Canada is ready for it.

Let’s start at the beginning. Affordable access to safe and properly prescribed prescription medicines is so critical to patient health that the World Health Organization has declared governments are obligated to ensure such access for all of their citizens.

Unfortunately, Canada is the only developed country with a universal health-care system that does not include universal coverage of prescription drugs. The negative consequences for our health and economic wellbeing are significant.

Without universal coverage of prescription drugs, one in 10 Canadians cannot afford to fill the prescriptions their doctors prescribe. When patients don’t fill prescriptions they need, it hurts them and our economy because they end up needing more health care in the long run.

But pharmacare is about more than just drug coverage. Insurance companies can do that. What national pharmacare must do is to ensure sustainable, equitable and affordable access to medicines that are safe and appropriately prescribed.

In the Canadian context, this is a public responsibility. And, to be clear in this election year, it will require federal engagement–and not just in the form of cutting cheques for provincial pharmacare programs, but real leadership.

More so than other aspects of health policy in Canada, the federal government has responsibility for matters that affect the safety, availability, use and cost of prescription drugs. Here are four things the federal government could do to make national pharmacare work for Canadians:

1. Commit to a clear and comprehensive pharmacare plan. Not a patchwork of private and public insurance and not income-based or “catastrophic” drug coverage. Research has consistently shown those systems don’t work well and are unnecessarily costly.

Canada needs a universal, public, and comprehensive pharmacare system that will meaningfully integrate medicines into medicare in ways that lead to safer, more affordable use of medicines for all Canadians. We’ve known this since the 1960s. Time for a government to commit to make it their legacy for Canada.

2. Get on with the task of improving prescribing in Canada. About one in three seniors receives prescriptions known to pose health risks for older adults. The preventable problems of overuse, underuse and misuse of medicines cause one in five hospitalizations in Canada. Cutting these problems in half would save Canadians billions.

The federal government should fund the development and implementation of a national strategy to improve prescribing. Done in partnership with patients, professionals, and the provinces, this national strategy should aim to establish a culture of safety and appropriateness, to put an end to questionable drug marketing practices, and to put credible and usable information in the hands of patients, prescribers and policy makers.

3. Quit applying antiquated drug price regulations. We live in a world where most comparable health systems have abandoned the blunt instrument of price regulation in favour of more sophisticated tools of price and supply contract negotiation. When done well, negotiations with suppliers lead to more competitive prices and more assurances of a secure supply of the medicines the country needs.

The federal government should take the $11-million spent enforcing antiquated price regulations and invest it in joint capacity for negotiating, monitoring and enforcing contracts on behalf of public drug plans and hospitals from coast to coast. This would not only level the playing field within Canada, it would also make Canada much stronger on the world market.

4. Finally, sustainability of any system to encourage access to medicines depends to a great extent on timely and vigorous generic competition. Yet Canadian regulations create unnecessary barriers to generic drugs entering our market.

The federal government should create a clearer, faster and fairer path to generic entry following required periods of market exclusivity for patented drugs. This would save Canadians millions–and wouldn’t cost the federal government a dime.

If done right, a pharmacare plan would effectively integrate medicines into Canadian medicare and ensure that the Canadian principles of universal access to high quality, affordable healthcare do not end when doctors give patients prescriptions to fill. It is within reach with the right plan–and leadership.


Steve Morgan is a professor in the UBC School of Population and Public Health and an expert adviser with EvidenceNetwork.ca. On Feb. 27, he is presenting a webinar with the Institute for Research on Public Policy on the question, “Is Canada ready for a national pharmacare program?” 

Le taux d’approbation de Stephen Harper bondit de 11 points par rapport à 2013

MontrĂ©al – La tendance s’inverse aprĂšs deux annĂ©es de recul : le taux d’approbation du premier ministre Stephen Harper a bondi de 11 points par rapport Ă  2013, selon un nouveau sondage rĂ©alisĂ© par Nanos Research pour Options politiques, qui rĂ©vĂšle aussi que les Canadiens sont lĂ©gĂšrement plus optimistes quant Ă  la direction empruntĂ©e par le pays.

RĂ©alisĂ© en novembre 2014, ce huitiĂšme sondage annuel sur l’« humeur du Canada » montre ainsi que 37 p. 100 des Canadiens jugent la performance du gouvernement fĂ©dĂ©ral « trĂšs bonne » ou « bonne ». Seuls 27 p. 100 avaient le mĂȘme avis l’an dernier, alors que les conservateurs s’enlisaient depuis un an dans le scandale des dĂ©penses du SĂ©nat qui avait Ă©claboussĂ© mĂȘme le Bureau du premier ministre.

La proportion des Canadiens qui estiment que le pays s’oriente dans la bonne direction a pour sa part augmentĂ© de six points pour atteindre 37 p. 100, un score toutefois peu convaincant, qui correspond Ă  l’avant-dernier rang des taux enregistrĂ©s depuis le premier sondage de 2007. Il dĂ©note une humeur plus morose au regard de l’optimisme qui rĂ©gnait dans les premiĂšres annĂ©es du gouvernement Harper, 48 p. 100 des personnes interrogĂ©es jugent en effet que le pays reste engagĂ© dans une mauvaise direction.

« Il y a certes une amĂ©lioration par rapport Ă  2013, rĂ©sume Nik Nanos, prĂ©sident de Nanos Research, mais plusieurs variables restent tout de mĂȘme nĂ©gatives. »

Ce sondage a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© du 15 au 18 novembre auprĂšs de 1 000 Canadiens joints par tĂ©lĂ©phone (appareils fixes et cellulaires) et en ligne (par Ă©chantillons alĂ©atoires). Ses rĂ©sultats ont Ă©tĂ© statistiquement vĂ©rifiĂ©s et pondĂ©rĂ©s selon l’Ăąge et le sexe suivant les donnĂ©es du dernier recensement, et l’Ă©chantillonnage a Ă©tĂ© stratifiĂ© gĂ©ographiquement pour ĂȘtre reprĂ©sentatif de l’ensemble du pays. La marge d’erreur d’un sondage rĂ©pondant Ă  ces critĂšres est de ±3,1 points de pourcentage, 19 fois sur 20.

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Options politiques est publiĂ©e six fois l’an par l’Institut de recherche en politiques publiques. L’IRPP est un organisme canadien indĂ©pendant, bilingue et sans but lucratif, basĂ© Ă  MontrĂ©al. Pour recevoir par courriel de l’information sur nos activitĂ©s, priĂšre de s’abonner Ă  notre liste d’envoi.

Renseignements : Shirley Cardenas    514 594-6877    scardenas@nullirpp.org